Accueil Eventos LA PUISSANCE DU FÉMININ (1ère Partie). De La Comparaison À L’acceptation, De La Concurrence À L’accompagnement… Un Voyage De Prise De Pouvoir.
los-4

LA PUISSANCE DU FÉMININ (1ère Partie). De La Comparaison À L’acceptation, De La Concurrence À L’accompagnement… Un Voyage De Prise De Pouvoir.

ÊTRE UN HOMME EST UN PROJET, ÊTRE UNE FEMME EST UNE RÉALISATION

Les petites différences qui sont les facteurs déterminants d’une énorme variation dans la manifestation du pouvoir humain.

 

Pour décrire la puissante énergie féminine, faut-il parler du masculin? Pour décrire la profondeur, il est nécessaire de commencer par le superficiel.

L’homme n’est pas déterminé par le simple fait d’être né homme, pour être homme il doit aussi faire quelque chose, il doit atteindre un but. L’homme est né pour aller à la recherche, pour jouer toute sa vie à quelque chose, avoir de l’argent, des loisirs, faire des voyages dans l’espace, pour être numéro un dans un sport, devenir président ou millionnaire. Le pénis et sa direction vers n’importe quel type de trou confinent l’homme à toujours calculer comment et quand placer son pénis à travers un certain type de trou. Il y a tellement de trous émotionnels, commerciaux, sexuels, professionnels, spirituels ou humains qui l’incitent à aller les pénétrer qu’il ne vit que pour cela, pour PÉNÉ(pénis) TRER. Entrer avec le pénis. Les trous représentent les buts et objectifs, et le pénis représente le psychisme insatisfait de l’homme. Par conséquent, l’homme se débat dans sa vie dans une lutte pour réaliser tout ce qu’il se propose. Vouloir devenir est la névrose la plus sophistiquée que les humains aient, et dans tous ces possibles devenirs, le plus complexe, le plus difficile et le plus compliqué est de devenir un homme, une prouesse presque impossible à réaliser parce que la plupart de nos mères nous ont réduits à être des enfants éternels.

La femme est déterminée par le simple fait d’être. Elle n’a besoin de rien d’autre que d’être une femme pour sentir qu’elle est arrivée, elle n’a rien à faire ni même à être. Si vous êtes une femme, vous avez déjà tout, vous n’avez besoin de rien d’autre que d’être une femme. Tout le reste viendra à vous. Vous ne devenez pas une femme parce que vous l’êtes déjà, vous la portez à l’intérieur, vous la sentez comme votre essence.

Pour ceux qui croient que je compare l’homme et la femme, j’ajouterai une précision: si je parle de blanc et de noir je ne les compare pas mais je les décris, le blanc est froid, le noir est chaud; le blanc rejette la lumière, le noir l’absorbe; en ce sens, nous pouvons dire que le noir est plus chaud que le blanc et que le blanc est plus froid que le noir, mais je ne prétends pas que l’un soit meilleur qu’un autre. Il n’y a pas de comparaison mais une observation consciente des caractéristiques de chacun.

Quand on parle des hommes et des femmes, une comparaison interne inévitable se pose parce que celui qui parle peut être mâle ou femelle, ou souhaitera sans doute être un homme ou une femme, ou pourra rejeter une partie féminine ou masculine de lui même ou d’autre êtres humains; en tout cas il n’y aura pas d’objectivité. C’est-à-dire que nous sommes confrontés à une vision de deux états énergétiques qui proviennent d’une projection intérieure. Parler de l’homme ou de la femme, ce n’est pas parler de l’homme ou de la femme, mais de différents états ou couleurs, de différentes réalités ou conditions; et toute vision que nous donnons sera contaminée par différents types de subjectivités et d’évaluations peu fiables du point de vue de la pureté de l’observation.

J’ai récemment dit à un jeune extrêmement intelligent: “Votre petite amie vous a vaincu”. Aujourd’hui, cet homme m’a écrit cette petite lettre: “Alberto, du jour où vous m’avez dit cela je suis tourmenté. Le problème, c’est que je pense que c’est le cas, mais je ne veux pas vivre en compétition ou me priver de paix, d’harmonie ou de bien-être, mais j’admets que cela me fait mal de me sentir inférieur. Vous m’avez également dit que je devrais oser me sentir inférieur parce comme ça j’allais mûrir en tant qu’homme; Mais y a-t-il des gens supérieurs et inférieurs? Il est clair qu’il y a des gens plus courageux que d’autres, plus persistants, plus responsables; et que probablement ma petite amie est plus compétente que moi dans le sens qu’elle est tout cela, mais je ne veux pas me sentir comme ça. Par contre je considère les autres comme inférieurs à moi, mais cela ne suppose pas une ingérence dans ma vie, mais de me comparer à ma copine oui. Cela m’as mis en fureur. Cela me donne l’impression d’être une merde et cela réveille de la haine envers elle et envers vous aussi pour me l’avoir dit, mais je sais que c’est quelque chose qui était déjà en moi et que vous l’avez fait pour une bonne raison. J’ai peut-être construit mon identité en me comparant avec les autres et cela s’effondre dans le cadre de mon processus d’amélioration, car cela me déconnecte de moi même. Ce sera que j’ai toujours essayé d’être le meilleur, bien que mentalement je ne pense pas qu’il y ait quelqu’un de supérieur ou d’inférieur, même si je crois que quelqu’un peut en surmonter un autre dans une compétence “.

Vous avez dit cinq choses qui sont essentielles pour bien les identifier et les résoudre:

  • Que vous vous sentez inférieur.
  • Que vous ne croyez pas qu’il y ait d’inférieur et de supérieur.
  • Que vous ne voulez pas rivaliser ou vous comparer pour ne pas souffrir.
  • Cela vous fait haïr de vous faire voir l’infériorité que vous ne voulez pas accepter.
  • Que vous avez consacré toute votre vie à être supérieur mais que vous ne l’avez pas encore réalisé.Se sentir inférieur n’est pas aussi grave qu’il y paraît, la tragédie c’est de ne pas le reconnaître si vous le ressentez. Ce qui vous fait stagner, c’est de ne pas vouloir voir l’infériorité quand vous la ressentez et que vous en souffrez, car de cette manière vous ne pourrez jamais la surmonter. Lorsque vous ne voulez pas reconnaître cette réalité, vous choisissez de tout faire pour que vous vous sentiez supérieur, et même si vous l’obteniez, le sentiment d’infériorité sera toujours là, car l’idée d’infériorité ne peut être remplacée par la supériorité. Vous pouvez la superposer pour essayer de la cacher, mais vous ne le guérissez pas en vous sentant supérieur, vous n’oublierez que pendant un instant la façon dont vous vous sentiez inférieur.Même le complexe d’infériorité est dangereux car sous le pouvoir supposé que vous acquérez en vous sentant supérieur, vous cachez une haine et un ressentiment qui peuvent se manifester de manière virulente en utilisant la place d’autorité que vous avez obtenue en forçant une supériorité. C’est le berceau des tyrans, des dictateurs et de toutes sortes de suprématie messianique.

Ma suggestion à ce moment-là, serait que vous vous rendiez à ce sentiment d’infériorité parce que c’est le moyen le plus rapide de prendre en charge la réalité dans laquelle vous vivez “JE SUIS INFÉRIEUR”, et alors ?

Si vous voulez approfondir en utilisant ce qui vous arrive, je pourrais vous dire que la situation de base que vous pouvez voir dans votre question et dans presque toute la réalité humaine est la lutte pour le pouvoir. Qui a le pouvoir? Le trou ou le pénis? L’argent ou le sexe? La force ou la séduction? La sensibilité ou la froideur? L’émotivité ou l’intelligence? L’éjaculateur multi-orgasmique ou l’éjaculateur précoce? Celui qui désire ou celui qui veut être désiré? Celle qui veut réussir ou celle qui veut être belle? L’ homme d’affaires ou la prostituée? Le projet ou la réalisation? Le père ou la mère? L’ homme ou la femme? Le président ou la femme du président?

La majorité des femmes des grands dictateurs de l’histoire ont su très bien utiliser les hommes pour atteindre leurs objectifs cachés. Si vous êtes la femme d’un artiste, d’un homme créatif, sensible et vulnérable, vous ne pourrez sûrement pas faire la même chose. Le pouvoir peut être utilisé sur ceux qui le désirent, mais quand un homme ne veut pas du pouvoir, il laisse la femme sans pouvoir le dominer. Cela fait partie de cette loi complexe qui régit les luttes de pouvoir.

Si vous désirez quelqu’un, vous utilisez le pouvoir de séduction pour dominer celui que vous désirez. Si vous faites ce qui est nécessaire pour créer du désir chez les autres, vous utilisez l’énergie de la séduction pour avoir le pouvoir. Que vous désiriez ou vouliez être désiré, vous acquérez un faux pouvoir. Mais si quelqu’un désire vraiment ou est vraiment désiré, sans s’intéresser au pouvoir que pourrait lui procurer le désir, alors il se met au-dessus des deux parce qu’il s’en fout. Alors le vrai pouvoir vient à lui.

Bien que nous soyons sous des mécanismes qui nous contrôlent et nous dominent, nous en serons des esclaves, simplement en réalisant comment nous sommes tombés dans ces jeux de pouvoir, nous ne pourrons pas les surmonter, car la solution est plus profonde et plus complexe.

La femme, aussi superficielle qu’elle puisse paraître, a toujours une prédisposition à approfondir. Elle a un trou profond dans son corps à travers lequel pénètre le pénis de l’homme, le sperme atteint le plus profond pour fertiliser et produire la vie, ce qui en soi est un facteur biologique qui marque l’une des grandes différences avec l’homme.

Je connais beaucoup de femmes qui cachent même leur capacité à approfondir parce qu’elles ne veulent pas effrayer l’homme avec lequel elles sont, et préfèrent montrer qu’elles sont superficielles pour ne pas les déranger ou les perdre; mais quand elles ne sont pas avec eux et qu’on leur propose un plonger en profondeur, elles réagissent immédiatement avec une ouverture pour “entrer à l’intérieur”. En ce sens, elles semblent plus courageuses et déterminés à sauter, à se plonger, à entrer, à ressentir et à regarder à l’intérieur.

Mais l’homme est beaucoup plus superficiel en général, quand un homme est profond, c’est parce qu’il a développé la partie féminine beaucoup plus que la masculine, comme si le féminin était une condition plus conforme à la vie et à sa nature, pour s’installer sur le concret plutôt que de voyager à travers des projets inaccessibles.

Ce ne sont que quelques différences qui ne rendent pas les femmes meilleures ou pires, mais très différentes. Mais ces différences sont perçues comme une perte de pouvoir par la plupart des hommes.

Si on laisse pour un moment la notion de genres féminins et masculins, on peut voir plus de choses sur le même sujet.

Beaucoup de gens cherchent à se sentir supérieurs en étant meilleurs que les autres, ce qui leur donne un pouvoir spécial dont ils jouissent parce qu’ils se voient au sommet; comme s’ils étaient le maximum, l’inaccessible. Un jour, une fille m’a dit: « Je veux toujours avoir le meilleur mobile qui existe pour montrer à mes amis que je suis la meilleure » alors je l’ai félicité d’être si honnête, ce fut un moment magique de reconnaissance du fait que la poursuite de la supériorité sur les autres et qui veut y parvenir en ayant quelque chose que l’autre ne peut pas avoir. C’est l’histoire humaine et la lutte de pouvoir que nous traînons depuis toujours.

Il y a 2 ans un psychologue et professeur dans une université aux États-Unis m’a dit qu’il devait me parler, j’ai attendu 2 heures dans l’hôtel où je me trouvais à la ville de Mexico quand je l’ai vu il m’a dit: « Je t’ai cherché et attendu pour te dire que tu as le pouvoir de décider où ira l’utilisation de l’Ayahuasca dans le monde. Tu peux utiliser tout ton dispositif de communication, ton pouvoir charismatique, ton expérience et tes influences pour dire comment utiliser l’Ayahuasca, et la plupart de ceux qui te lisent ou t’écoutent suivront ce que tu dis. En fait, tu le fais déjà maintenant, mais tu dois en être conscient”, Cet homme a joué un rôle fondamental dans ma conscience du pouvoir que j’ai par rapport à quelque chose, mais il m’a fallu des mois pour nettoyer mon esprit de cette croyance absurde. Le mental, le soi, les identifications … ils veulent avoir et gérer le pouvoir, beaucoup de pouvoir sur les autres. Mais en fait, pourquoi est ce que je veux avoir ce pouvoir? Qu’est-ce que cela signifie pour moi de détenir un certain pouvoir? Est-ce un vrai pouvoir? Ce pouvoir peut-il me rendre heureux et me permettre de vivre en harmonie? Et si mon bonheur reposait sur le fait d’être une source d’inspiration pour que les autres atteignent le niveau de pouvoir qu’ils ont en eux mais ne réussissent pas atteindre?

Si vous vous concentrez sur le fait que vous pouvez avoir du pouvoir en étant le meilleur pouvoir, et soudain une femme vient à vous pour vous montrer en face qu’elle est mieux que vous, vous êtes dans un grand désordre; soit vous devrez reconnaître sa supériorité, soit vous vous efforcerez de soutenir l’idée que vous êtes supérieur (ce qui vous rendra inférieur par rapport à ce que vous étiez avant) en faisant tout pour la dépasser car c’est quelque chose que vous ne pouvez pas vous permettre.

Si vous reconnaissez sa supériorité, vous accéderez à la voie de la compréhension, si vous vous battez, tout se compliquera avec une plus grande incompréhension.

Un jour, vous verrez que derrière le complexe de supériorité, il y a une recherche de pouvoir, et que derrière le complexe d’infériorité, il y a une autre lutte de pouvoir. Les deux voulant avoir le pouvoir à partir d’endroits différents, les un depuis la domination et les autres depuis la soumission, des uns par l’esclavage et les autres par la liberté, certains depuis la victimisation et d’autres depuis l’abus, certains depuis la fierté et d’autres depuis l’humilité. Mais lorsque vous quittez cette recherche bipolaire du pouvoir, vous commencerez à sentir que le pouvoir est inhérent à votre propre niveau de conscience, à votre capacité à le réaliser, à votre capacité de ne pas vous laisser entraîner dans de faux jeux de pouvoir.

Ensuite, vous accéderez à un espace d’harmonie, à un relâchement par rapport au pouvoir et il vous sera égal de savoir qui l’a et qui ne l’a pas, car ce qui importera le plus, c’est de savoir que le seul pouvoir qui existe c’est d’être inconscient de son propre pouvoir. Il n’y a pas de pouvoir plus grand que cela. Je me réfère au fait de vivre dans le pouvoir mais ne pas s’en vanter, sentir le pouvoir dans vos tripes mais ne pas faire un usage abusif, avoir des quotas de plus en plus importants mais ne pas les utiliser pour subjuguer les autres mais pour les soutenir et les accompagner sur le chemin de la réunification de leur propre pouvoir.

Ceux qui ont acquis une sorte de pouvoir sont corrompus dans leur utilisation du pouvoir, y compris les enseignants et les gourous spirituels, car c’est la grande tentation de l’homme. Être inconscient du pouvoir ne signifie pas que vous ne savez pas que vous l’avez, mais que votre esprit ne recourt pas au fait que vous l’avez parce que vous en avez la responsabilité. Donc, si vous êtes responsable de votre pouvoir, c’est parce que vous l’avez entre vos mains, ce n’est pas le pouvoir qui vous a entre ses mains.

Pourquoi ne collaborez-vous pas au développement du pouvoir de votre petite amie? La soutenir dans sa quête de pouvoir, l’accompagner dans l’accomplissement de tout ce que son pouvoir lui permet, l’inspirer pour qu’elle se réalise à travers l’épanouissement de son pouvoir. Que pensez-vous qu’il va vous arriver? Est-ce qu’elle va vous écraser avec son pouvoir? Je dois vous donner les mauvaises, cela en va pas arriver, vous ne recevrez que de l’amour et de la gratitude, de l’admiration et du respect. Est-ce que cela ne fait pas partie du pouvoir authentique que vous recherchez? Peut-être inconsciemment c’est ce que vous ne voulez jamais avoir: LA PUISSANCE AUTHENTIQUE SUR VOUS-MÊME.

A ce moment là, je suis descendu prendre un jus dans la cuisine de ma maison et j’ai trouvé une femme parlant à un homme au téléphone, c’est une élève de notre école, au vu du ton qu’elle employait et celui sur lequel on lui parlait (car je pouvais bien entendre la conversation) j’ai pu remarqué la grande obscurité qu’il y a dans les relations humaines quand il y a une lutte pour le pouvoir, peut-être parce que cette femme avait allumé toutes les lumières de son for intérieur.

Alberto José Varela

[email protected]

 

Déjanos tu comentario sobre este artículo o compártelo

WhatsApp
Twitter
Facebook
LinkedIn
Email
Alberto José Varela

Alberto José Varela

Fundador de empresas y organizaciones; creador de técnicas, métodos y escuelas; autor de varios libros. Estudiante autodidacta, investigador y conferencista internacional, con una experiencia de más de 40 años en la gestión organizacional y los RRHH. Actualmente crece su influencia en el ámbito motivacional, terapéutico y espiritual a raíz del mensaje evolutivo que transmite.

Autres articles par Alverto

Elige un Idioma

Selecciona tu Idioma